Chez Luc (brèves de comptoir)

"Chez Luc", le bar où l'on peut venir bavarder ensemble à propos des choses qui fâchent, ou qui réjouissent, ou qui émeuvent ... Je vis près d'Avignon, en Provence. J'ai trois bons copains qui viennent au bar pour nous raconter la dernière du jour : Jack, de Belinto en Provence, Patrick, d'Audierne en Bretagne, et Philippe, de Piriac en Bretagne du sud (qu'on appelle aussi "Pays de Loire").

Les auteurs (le patron et les habitués)

Photo Luc

Luc, Avignon

Photo Padraig

Padraig, Audierne

Photo Jack

Jack, Belinto

Photo Philippe

Philippe, Piriac

dimanche 28 juin 2009

A propos de la disparition des ours polaires



Christopher Booker, un journaliste négationiste climatique notoire, a publié un article paru hier dans le Telegraph, dans lequel il déplore que le Dr. Mitchell Taylor ne soit pas invité à la conférence de Copenhague de décembre prochain sur le réchauffement climatique.

En effet, le Dr. Mitchell Taylor affirme que les ours polaires ne sont pas une espèce en danger, et que, bien au contraire, leur population a beaucoup augmenté ces trente dernières années. Et que donc ils ne sont pas menacés par le réchauffement climatique et ne doivent pas être mis sur la liste des espèces à protéger.

Bon.

En fait, renseignements pris :
(1) Oui, la population des ours polaires a augmenté ces trente dernières années.
(2) Oui, les ours polaires sont une espèce menacée de disparition.

Pour comprendre ce paradoxe apparent, il suffit de demander à un expert : le Dr. Andrew Derocher. Il vous expliquera que, suite à la signature en 1973 du International Agreement on Polar Bears, interdisant braconnage de l'ours polaire, sa population s'est mise effectivement à croître de nouveau.

Mais par ailleurs, il est clair que, si la banquise disparaît, plus de phoque qui viennent respirer à la surface. Et, si plus de phoque, plus d'ours polaire. C'est tout simple.

Donc, le coup d'arrêt mis en 1973 au braconnage des ours polaires a permis aux ours polaires de revivre. Mais la disparition de la banquise va les condamner de toute façon.

C'est ce que refuse d'admettre le Dr. Mitchell Taylor avec beaucoup de mauvaise foi.

Est-ce une raison pour ne pas l'inviter à Copenhague ? Je ne pense pas. Il vaut mieux l'inviter, pour mieux tordre le cou à ses théories négationistes.

D'un autre côté, on a peut-être mieux à faire que perdre son temps avec des gens comme lui ...

Pour en savoir plus :
1. Polar bear expert barred by global warmists (The Telegraph)
2. Dr. Mitchell Taylor, Polar Bear Biologist (The Frontier Centre For Public Policy)
3. Ask the Experts: Are Polar Bear Populations Increasing? (Polar Bears International)
4. Les ours polaires sont menacés par le réchauffement climatique (Gaïa - décembre 2005)

Crédit photo : Amanda Byrd

50 Comments:

Blogger Padraig said...

Le Dr Taylor avance des faits objectifs. Les autres spéculent sur ce qui pourrait arriver. Mais les faits ne sont pas bienvenus dans les Grandes Messes réchauffistes... Les spéculations sont bien plus prometteuses en termes d’audience ! D'autant plus que carabins et toubibs font le forcing pour attirer les projecteurs sur eux (H1N1). Pas question de leur abandonner le marché des Grandes Peurs !

Moi, je pense (spéculation qui en vaut bien une autre) que si la banquise se réduit en été, les ours polaires, plus nombreux, migreront plus au Nord pour trouver des lieux de vie et de chasse favorables, tout comme nos ancêtres humains ont migré vers le Sud ou vers le Nord lors des glaciations et réchauffements successifs... Il fut un temps où la banquise atteignait presque les Pyrénées. Les hommes ont alors migré vers la péninsule ibérique. On donne le nom de Vascons à ces populations migrantes. Et puis lorsque le climat s'est réchauffé, une partie de ce beau monde est monté vers le nord et a peuplé l'Europe. Quelques uns sont restés sur place, ce sont les ancêtres des basques actuels...

Messieurs les ours (et mesdames aussi), montez donc au nord, il y a là tout ce qu'il faut pour manger tranquillement et vous reproduire en paix...

lundi, 29 juin, 2009  
Blogger Jack said...

Donc, messiers les ours blancs adaptez vous, plus au Nord de la banquise quand celle-ci a fondu, c'est où Pad? Pour s'adapter les ours aurait 2 possibilités :

1 nager en attendant que la banquise re-gèle.
2 se rapprocher des côtes... et donc descendre au sud.

Pas besoin d'être ethologue pour comprendre que les ours habitués à suivre la banquise, mourrons noyés, sauf à lors construire des radeaux, leur permettant de se reposer.

Une autre solution, les transporter en antarctique, où il sont assurés de trouver la terre ferme, quoiqu'il arrive.
Ce serait sans doute une bêtise de plus à ajouter à la liste déjà longue des interventions calamiteuses de l'homme sur la faune et la flore.

lundi, 29 juin, 2009  
Blogger Padraig said...

Tu as raison, Jack, mon conseil aux ours ne vaut que s'il reste de la banquise au pôle nord en été, ce qui est très largement le cas aujourd'hui.

D'ici à ce qu'il n'y ait plus de banquise du tout en été, c'est pas demain la veille, mais si ça arrive jamais, je me fendrai alors d'un nouveau bon conseil aux ours ;-)

lundi, 29 juin, 2009  
Blogger Luc said...

@ Paddy : T'as raison. Si les ours remontent plus au nord, il pourront continuer à se nourrir.

Juste un tout petit détail : il ne pourront plus se reproduire. En effet, la maman hiberne dans une tanière sur la terre ferme (pas sur la banquise !). Et, au printemps, quand elle refait surface avec ses oursons, il faut qu'elle aille très vite sur la banquise pour se nourrir.

Elle se dépèche pour arriver au bord de l'océan arctique, et là : oups ! Plus de banquise. A moins de nager pendant deux ou trois cent kilomètres. Pour une mère exangue après un hiver d'hibernation et avec des petits oursons à la traîne, c'est fastoche. Hein, Paddy ?

Donc, les vieux ours pourront survivre, mais, finito : plus d'oursons !

Pour mieux comprendre comment ça marche, les ours blancs, tu peux lire : Ours blanc (Wikipédia)

lundi, 29 juin, 2009  
Blogger Padraig said...

D'accord pour la tanière. Alors laissez-moi deux ou trois jours, et je vous trouverai la solution pour les ours.

A noter cependant que plusieurs explorateurs polaires se plaignent de la prolifération des ours blancs qui menacent leurs bases et leurs appareils de mesure... J'avais lu ça quelque part sur le carnet de bord d'Eric Brossier, Ingénieur INPG, Commmandant de "Vagabond", un voilier brise-glace qui navigue depuis plusieurs années dans l'arctique, avec plusieurs hivernages dans les glaces...

"...les ours ne fréquentent pas encore trop la baie d'Inglefield, puisque la banquise leur permet de chasser encore plus au large. Parfois, la brume s'installe, et je doit me fier au chien qui m'accompagne, d'autant plus aux aguets lorsque nous croisons des traces d'ours toutes fraîches."

ou encore :

"L'ours qui vient de nous rendre visite n'était pas du genre farouche. Il fallu tirer 4 balles en l'air, 3 fusées et un pétard, pour qu'il se décide enfin à s'éloigner. Il est arrivé à toute allure, annoncé par les aboiements d'Imiaq. Il ne s'est arrêté qu'à moins de deux mètres de Frost !

etc. etc. etc.

Avec tous ces ours, ça va devenir vraiment dangereux de l'aventurer vers le pôle nord !

lundi, 29 juin, 2009  
Blogger Jack said...

Ah oui j'ai vu un magnifique document montrant ce couple qui hivernait sur un voilier pris dans les glaces dans une baie du Spitzberg avec un nouveau-né à bord.
Ils avaient un chien avec eux, dont la principale activité était de monter la garde pour avertir de la visite des ours blancs, qu'ils devaient éloigner à coup de fusées.
PS : ils ne se plaignaient guère, considérant que les ours étaient ici chez eux et que c'étaient à eux de faire attention.
Comportement que j'essaie d'appliquer chaque fois que je me trouve loin de chez moi et que j'attends aussi des étrangers qui nous rendent visite...

lundi, 29 juin, 2009  
Blogger Padraig said...

Jack, tu as parfaitement raison. Aucun explorateur ou scientifique digne de ce nom ne saurait "se plaindre" des ours blancs. J'ai donc écrit "se plaindre" de façon impropre. Ces explorateurs/scientifiques disent juste qu'il faut rester très vigilent, parce que les ours blancs sont loin d'être une race éteinte !

lundi, 29 juin, 2009  
Anonymous Anonyme said...

ce sujet, il existe un grope bien organisé qui milite contr el'idée du réchauffement climatique, ils en ont fait une vidéo assez longue ici :
http://video.google.fr/videoplay?docid=-3483608200922759033&hl=fr

Si leur argument, dans le fond, me parait assez vide et discutable, l'effet le plus pervers que je vois au transport de ces idées, c'est que ca nous dédouane de tout, et qu'on peut donc continuer à polluer la conscience tranquille, et user la planète plus qu'elle ne peut nous supporter. Ce me semble dangereux..

lundi, 29 juin, 2009  
Anonymous sylvie said...

Hum...ce Dr Taylor....Ne serait-il pas de la famille de Mr Allègre. Les négationistes de tout poil ne font que retarder la prise de conscience. Des faits il y en a du côté du réchauffement aussi: la modification du trajet du Gulf Stream qui entraîne tout notre climat...etc, etc...

lundi, 29 juin, 2009  
Blogger Padraig said...

Juste un petit point de vocabulaire, Sylvie :

Le terme "négationnisme" désigne la négation de la réalité du génocide pratiqué par l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale contre les Juifs et les Tziganes (Négation de la Shoah). Le négationnisme consiste ainsi à prétendre, notamment par la négation de l'existence des chambres à gaz d'extermination ou de la volonté d'extermination des Juifs d'Europe par les nazis, que la réalité de ces crimes relèverait de mythes. L'expression publique de ces propos est sanctionnée dans de nombreux pays (le 26 janvier 2007, l'Assemblée Générale des Nations Unies a adopté par consensus une résolution condamnant la négation du génocide des Juifs par l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale). En France, c'est la loi du 13 juillet 1990 dite Loi Gayssot qui condamne le négationnisme.

Donc, utiliser le terme "négationnistes" pour désigner des gens qui mettent en question une théorie scientifique qu'ils jugent fumeuse, c'est pour le moins impropre, et c'est très nettement tendancieux, ne trouvez-vous pas ?

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Padraig said...

Sylvie, tu as dû mal suivre le film : la question n'est celle d'un changement climatique ou pas (changement qui est présenté comme une chose historiquement normale), mais de son origine anthropogène ou pas. Clairement, la thèse défendue dans le film est celle d'une origine non anthropogène. Et de fait, c'est une thèse qui est au moins aussi documentée (mais peu médiatisée) que la thèse anthropogène qui est défendue par la clique* du GIEC et qui est très largement colportée par les medias.

*clique, au sens de : "groupe dont les membres sont liés par des règles très étroites", mais bien entendu pas au sens de : "bande de personnes qui veulent parvenir à quelque chose d’une manière peu honnête".

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Padraig said...

Sylvie, j'aime beaucoup les portraits que tu fais... Amitié par exemple...

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Padraig said...

Ce documentaire montre très clairement que le réchauffement climatiques est 100% anthropogène.

C'est-à-dire que ce concept de réchauffement dû au CO² est une pure invention humaine.

Lorsque Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace, affirme qu'il s'agit d'une mystification, on est en droit de tendre l'oreille, non ?

En fait, tout dans ce film m'était familier à l'exception de la genèse du concept (grève des mineurs au Royaume Uni en 1984-85), et sponsorisation par le gouvernement Thatcher de climatologues désoeuvrés pour fustiger le charbon et promouvoir une orientation en faveur du nucléaire... Je connaissais bien la genèse de la mystification du trou d'ozone, mais je ne connaissais pas celle du réchauffement climatique.

L'intérêt vital de la clique du GIEC est patent : le prétendu réchauffement est leur gagne-pain !

Aussi, j'ai bien aimé le couplet sur les organisations environnementales qui ont besoin de "causes" pour se maintenir (et s'il n'y a pas de "cause", ils en fabriquent). C'est tellement évident !

Bon. Donc, vive le respect de l'environnement, mais à bas les mystificateurs malhonnêtes.

mardi, 30 juin, 2009  
Anonymous sylvie said...

Cher Padraig, je n'ai pas fait d'erreur de vocabulaire, je sais très bien ce pour quoi est employé le terme "négationniste", je l'ai fait sciemment...Aë! encore une pierre dans mon jardin! tant pis. De toute façon rien n'est ni blanc ni noir, du côté de ceux qui réfutent le réchauffement, il y a souvent derrière toute l'agro-alimentaire et sa "clique" (c'est pas moi qui ait commence!!!) de fabricants de poison de tout poil...Et pour eux c'est la négation de ce fait leur gagne pain (d'où mon emploi de négationnistes...).
Merci pour le portrait "amitié".

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Padraig said...

Sylvie, il se trouve que j'ai une sensibilité particulière pour les choses qui concernent l'holocauste. Et je précise ici que je suis blond aux yeux bleus. Il s'est passé il y a seulement une petite soixantaine d'années en Europe des choses absolument effroyablement odieuses, qui ont conduit de façon planifiée environ 6 à 7 millions d’hommes, de femmes et d’enfants à une mort atroce. Et c'est sans compter les dizaines de millions d'innocents qui ont été massacrés par la barbarie nazie par exemple en Russie.

Je n'aime donc pas que soient galvaudés (et donc banalisés) les mots qui désignent cette horreur absolue. En raison de l'immensité de l'abjection en question, ces mots ont pour moi une sorte de caractère sacré. C'est comme traiter avec légèreté quelqu'un de fasciste sous prétexte qu'il est très autoritaire - c'est oublier ce que fut réellement le fascisme.

Mais, bon, on est dans un pays libre, on a le droit d'utiliser les mots qu'on veut !

Moi, je préfère par exemple "anti-réchauffistes" ou "sceptiques" ou encore "carbo-sceptiques" pour désigner ceux qui doutent du bien-fondé de la théorie d'un réchauffement climatique dû au CO² humain.

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Jack said...

Joli débat, sur l'origine "antropogène" du réchauffement... et si cette théorie du réchauffement visait seulement à remettre en lumière ce que tout le monde sais et ne veut voir: la population humaine doit cesser d'augmenter et les humains doivent apprendre à gérer les ressources au niveau planétaire,(le contraire de la loi du marché, dont on voit bien la stupide logique ) sous peine de retour rapide et prochain à l'âge de pierre pour tous.
Pour ma part, vue le degré de sottise de l'espèce, incapable de préserver ses ressources et donc son avenir, il va de soi que nous sommes promis à la barbarie et au retour à l'âge de pierre.
Mais la vie à l'âge de pierre serait-elle moins dure que la vie de millions d'humains les plus démunis aujourd'hui?

Il y aura probablement de l'homme à la table de l'ours blanc.

Que l'avenir nous préserve d'avoir à vivre ce futur là.

En tous cas il n'est nul besoin de catastrophe climatique pour prévoir le désastre.

Donc première mesure mondiale à prendre: stérilisation de toutes les femmes après la troisième naissance...simple mais déjà pas évident à mettre en œuvre.

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Jack said...

D'autres préfèreront compter sur la guerre et les épidémies pour réguler notre nombre, mais ça on a l'a déjà essayé : il serait tout de même temps de trouver autre chose, ne croyez vous pas?

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Jack said...

J'oubliais il y a encore une autre méthode (déjà essayée)le cannibalisme!

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Padraig said...

Jack, ta proposition de "stérilisation de toutes les femmes après la troisième naissance", ça veut dire que tu veux priver certaines populations de la seule arme dont ils disposent : la bombe humaine (genre 6,29 enfants par femme en Palestine, taux de croissance de la population 4,2% par an)... Ta proposition va mal passer, là...

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Luc said...

@ Pad : "Ce documentaire montre très clairement que le réchauffement climatiques est 100% anthropogène."

Je l'ai regardé ton "documentaire".

Au bout que 1 minutes 39, un mec nous affirme, je cite : "Il y a eu des périodes dans l'histoire de la Terre lors desquelles la quantité de C02 était trois fois plus élevée qu'aujourd'hui, dix fois plus élevée, même."

Alors, bon, si tu te donnes la peine de regarder la courbe d'évolution du CO2 depuis 400 000 ans, tu t'aperçois que ce mec ne raconte que des grosses conneries.

Donc, quand un "documentaire" commence par proférer de telles contre vérités, je pense que ce n'est pas la peine d'aller beaucoup plus loin.

C'est du même tonneau que le Moon Landing Hoax, qui prétend que l'homme n'est jamais allé sur la Lune ...

En tous cas, merci pour ce lien pour une vidéo aussi rigolote !

Hé hé hé ...

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Luc said...

Vous avez remarqué que, dès qu'il y a une jolie bretonne qui vient nous rendre visite au bar, Pad tient à préciser qu'il est "blond aux yeux bleus."

Bon, moi je suis brun avec une peau mate.

;-)

P.S. : mes cheveux noirs sont à présent d'un blanc fort seyant, ma foi !

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Luc said...

@ Jack : " la population humaine doit cesser d'augmenter et les humains doivent apprendre à gérer les ressources au niveau planétaire"

Bien d'accord.

C'est tout bien expliqué ici !!!

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Padraig said...

Ah ! Sylvie est une Bretonne, c'est pour ça qu'elle me semblait sympathique !

Luc, merci pour le moon landing hoax, je n'avais pas vu ça auparavant. Ils ne prétendent pas que l'homme n'est pas allé sur la Lune, juste que les images qui nous ont été diffusées ont été préenregistrées sur Terre... Les reflets de filins ne me convainquent guère, mais j'avoue que certaines images relatives à Appolo 16 sont extrêmement bizarres (par exemple l'astronaute qui se relève miraculeusement, ou celui qui sautille sans vraiment donner d'impulsion par les jambes)... Soit les images de ce clip sont elles-mêmes trafiquées, ou alors...

Remettons-nous dans le contexte de la guerre froide. Il était absolument vital pour les ricains de démontrer la suprématie de l'Amérique, notamment par leurs succès spatiaux (et il fallait justifier le colossal effort financier que représentait la conquête de la Lune). Dans ces conditions, qu'est-ce qu'ils préparent, au cas-où ? Ca me semble plus que plausible qu'ils nous aient préenregistré des scènes qui vont bien (surtout pour impressionner les soviétiques). Et si ces scènes préenregistrées étaient plus démonstratives que les scènes réelles, pourquoi ne pas nous les diffuser ? La paix du monde était en jeu !

Et ça a marché : les ricains ont gagné la course à l'espace, et donc marqué leur suprématie technologique - et par là sociétale - et, à peine quinze ans plus tard, l'Union Soviétique tombait en déliquescence !

Ca valait bien quelques écarts avec la réalité !

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Padraig said...

Luc, pour le CO², il y a les données présentées par la clique du GIEC, et il y a les mesures directes effectuées laborieusement (mais précisément) par les chimistes depuis un peu plus de deux siècles *. Voici la comparaison des courbes. On constate qu'en 1820 puis en 1940, le taux de CO² a atteint 440 ppm (mesures directes). Rappel : le taux est actuellement de 380 ppm.

Vous avez dit mystification ?

* 90 000 mesures effectuées par un grand nombre de chercheurs, dans différents pays, et publiés dans 173 revues scientifiques. Ces mesures (lissées sur cinq ans) sont obtenues par diverses méthodes de titrimétrie (dosage chimique direct du CO2 par précipitation en carbonates avec des bases telles que KOH ou NaOH et analyse quantitative) avec une précision variant entre 6 et 3 ppm. Plusieurs auteurs de ces mesures ont été couronnés de prix Nobel (tels Krogh et Warburg ).

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Jack said...

Luc : exactement, (la matrice en moins)
Paddy : oui le ventre des femmes n'est pas fait pour faire la guerre. La fertilité en Israël est également au delà du taux de nouvellement, sans atteindre toutefois le record palestinien. La surpopulation c'est évidemment la guerre assurée, et comme je l'ai dit, c'est une très vieille méthode de régulation démographique.
Quelle horreur!

Je précise que ma proposition aurait eu pour effet d'éviter ma propre existence, ce qui devrait me dédouaner de toute conspiration personnelle pour prendre la place des autres...

mardi, 30 juin, 2009  
Blogger Luc said...

@ Pad : Ton site iconoclaste n'est pas accessible pour ceux qui sont abonné chez free (comme moi) ou chez Alice.

"Note du 15/05/09 aux utilisateurs de Free ou d'Aliceadsl : Depuis quelques jours, ces fournisseurs d'accès ne vous connectent plus à www.pensee-unique.fr, pour des raisons plutôt obscures.
Seule solution pour vous: Protester énergiquement auprès de ces providers qui se sont engagés par contrat à vous donner accès à TOUT le réseau. En attendant, vous pouvez, soit aller directement sur www.pensee-unique.eu (non encore blacklistée)"


Par contre, ce site plein de conneries rigolotes compilées par un "scientifique" de 66 ans est accessible ici : www.pensee-unique.eu.

mercredi, 01 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

Amusant : Free (qui veut dire "libre"), censure les iconoclastes (ceux qui veulent supprimer, qui mutilent ou détruisent volontairement les images saintes).

Iconoclastes, images saintes... Oui, c'est bien de cela qu'il s'agit !

mercredi, 01 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

Cette fable du réchauffement climatique devient une affaire d'état, puisque la plupart des états se sont convertis à cette religion. Ceux qui doutent - et qui plus est argumentent leurs doutes - sont évidemment extrêmement malvenus. D'où la censure.

Ce "scientifique" (Grande Ecole Scientifique, Doctorat, Directeur de Recherche au CNRS) finira-t-il par abjurer ses fautes sous la torture d'une nouvelle inquisition réchauffiste ?

mercredi, 01 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

Dans nos contrées, Dieu est mort. Ce qui ne convient pas du tout au peuple qui un besoin inné d’une vérité transcendantale. Le Réchauffement Climatique vient à point nommé. Le RC présente tous les bons ingrédients d’une nouvelle religion : la menace de l’enfer (catastrophes, déluges, inondations, maladies, etc.), un salut possible si on se conforme aux dogmes (réduire les émissions de carbone), un clergé (la clique du GIEC), et les évêques (Al Gore, Nicolas Hulot, etc.). Chacun peut constater en feuilletant son journal que le moindre petit orage ou petite canicule ou invasion de chenille est attribué au sacro-saint RC, sans que le moindre doute soit jamais exprimé.

La nouvelle religion d’état est bien en place.

Je ne crois ni en Dieu, ni au RC. C’est dur à vivre, mais j’assume.

Toutefois, ça ne m’empêche pas de travailler à la restauration de la chapelle du coin – je viens même d’éditer bénévolement une petite notice à ce sujet qui sera proposée au public lors du prochain Pardon - , ni d’œuvrer pour le respect de l’environnement – étant très activement impliqué dans une association ad-hoc - et allant bénévolement enseigner ce respect de l'environnement aux enfants de l'école primaire de mon village…

mercredi, 01 juillet, 2009  
Blogger Bruno du grand sud est said...

Vous n'avez donc pas d'anciens autour de vous?
Vous savez ces fossiles vivants qui disent n'importe quoi : il n'y a plus de saisons, on a des fleurs printanières en hiver bla bla bla .
Ils me font bien rire ces papis séniles à la solde des lobbies réchauffistes.

mercredi, 01 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

Pour ceux qui sont victimes de la censure, je mets ici un autre lien pour le graphe du CO² version GIEC et version chimistes.

Au passage, il est à noter que les évêques du RC ne perdent pas le nord. Al Gore, tout en faisant voter les lois ad-hoc, est un des associés d'un fond de plus d'un milliards de dollars qui lui-même investit dans 40 sociétés qui vont profiter de la vague verte. A votre avis, ça va lui rapporter combien, cet investissement prometteur ? Il aurait bien tort de se gêner, me direz-vous !

mercredi, 01 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

T'as raison, Bruno. Quand j'étais jeune, les fossiles (et les journaux) parlaient déjà de dérèglement climatique, mais ils l'attribuaient alors aux essais nucléaires à l'air libre (au Sahara notamment, puis en Polynésie)... Quels crétins, ils auraient dû deviner que c'était à cause de leurs foutues bagnoles qui fumaient !

A ce propos, si on veut vraiment accélérer l'avènement d'une société "carbon-free", je suggère de tout faire pour surconsommer les ressources fossiles existantes (pétrole et charbon) afin d'accélérer leur épuisement. Le cours des combustibles fossiles ira croissant (genre le baril à 500 $), et très vite, on sera bien obligé de recourir à des sources alternatives et le taux de CO² anthropogène ira décroissant et finira par être tout à fait négligeable. Donc, vive les grosses berlines américaines qui consomment 40 litres aux 100 km. Des objections ?

mercredi, 01 juillet, 2009  
Blogger Bruno du grand sud est said...

Les insectes tropicaux aussi sont à la solde des réchauffistes puisque qu'ils sont à nos portes.
Heureusement on vient juste de trouver un vaccin contre le paludisme, on a eu "chaud"!

mercredi, 01 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

Tiens, Bruno, c'est drôle que tu évoques les maladies "tropicales". Je viens juste d'apprendre qu'une des plus grandes épidémies de paludisme (600 000 morts) a eu lieu dans les années 1920 en... URSS - Sibérie comprise et jusqu'au cercle arctique !

"The most catastrophic epidemic on record anywhere in the world occurred in the Soviet Union in the 1920s, with a peak incidence of 13 million cases per year, and 600,000 deaths. Transmission was high in many parts of Siberia, and there were 30,000 cases and 10,000 deaths due to falciparum infection (the most deadly malaria parasite) in Archangel, close to the Arctic circle."

Euh... Voyons voir... C'est certainement le RC avant l'heure, qui a produit ça ;-)

mercredi, 01 juillet, 2009  
Blogger Jack said...

@Luc... je suis consterné que certains provider (dont le tien donc) en Europe procède à ce qu'il faut bien appeler de la censure.
On savait déjà que certains moteurs de recherche se rendaient complice des régimes totalitaires qui les accueillent, là je trouve qu'on "progresse franchement".

mercredi, 01 juillet, 2009  
Blogger Jack said...

Paddy : c'est assez surprenant, mais il est certain que l'été en pays nordique, en Scandinavie par exemple, les moustiques sont insupportables...pour l'avoir essayé.

Cet argument des maladie tropicales remontant vers le nord est évoqué dans le petit film que tu nous à fait visionner, me semble-t-il?

Sans aller si loin, le paludisme a sévi en Provence et en Camargue en particulier, il n'y a pas si longtemps.

Mais pour revenir au sujet : il fait vraiment chaud ces temps-ci, remarquez qu'en été c'est plutôt normal...

Tout ça pour rappeler que le sujet de conversation favori des Français étant le temps, le réchauffement climatique est forcément un sujet qui devait nous inspirer.

mercredi, 01 juillet, 2009  
Blogger Luc said...

Bon, alors penchons-nous sérieusement sur cette fameuse courbe "version chimiste" exposée avec satisfaction par le "scientifique" rigolo dont nous parle Paddy avec ferveur.

Le fameux graphique, qui fait apparaître, entre autres, un pic de C02 de 440 ppm en 1940 est décrit dans ce document.

Notons d'abord au passage que, 440 ppm en 1940, ce n'est pas "trois fois plus élevé" que les 380 ppm actuels, encore moins "dix fois plus élevé", contrairement au docu-fiction pseudo-scientifique que Padraig citait avec gourmandise !

Alors, cette fameuse "courbe des chimistes", c'est quoi ? Eh bien, c'est juste une compilation de taux de C02, mesurés dans des lieux différents, à des époques différentes, et avec des méthodes différentes. Et, on trace une courbe, sans tenir aucun compte de ces disparités incompatibles.

Un simple exemple : Sur cette fameuse courbe, la période 1939 - 1941 (qui inclut le "pic" à 440 ppm) sont les valeurs mesurées par un obscur scientifique Allemand, du nom de W. Kreutz, dans la bonne ville de Gießen.

Si on prend la peine de lire la traduction anglaise de son rapport, on lit un très instructif paragraphe. Je cite : "The CO2 level tends to decrease from surface level to the lower heights but increases
again at the greater height at all times.

This result appears to be remarkable at first sight. However an explanation can be found
when the correlation of those values is considered. With linear regression via minimum
squares the next trend lines describe the relationships of the CO2 contents between
ground level (C0) and the three different heights (C1, C2, C3):

a) At 0.5m height: C1= 0.92*C0+0.2
b) At 2m height: C2= 0.84*C0+2.8
c) At 14m height: C3= 0.69*C0+12.9

From these results it appears obvious that there are two main sources of the CO2 contents
in these layers. The first one, the factor trend factor 0.92 – 0.84 – 0.69 diminishes with
height and hence is clearly related to a source from the soil. The second value, the
displacement constant, which is independent of the ground level value, 0.2 – 2.8 – 12.9
increases strongly with height and must have an external source. It is clear that this value
is depending on the emission of industries of the cities, etc.(104) This component
increases so strongly with height that it prevails eventually."


En clair, il mesurait la teneur en C02 des fumées des industries voisines. (N'oubliez pas, nous sommes en Allemagne en 1940. Je vous fais un dessin ?)

Je pense que le brave W. Kreuz était loin de se douter que ses mesures de teneur en C02 des fumées d'usines allait servir soixante ans plus tard à discréditer des études scientifiques planétaires, ses données étant utilisées par des "scientifiques" peu scrupuleux, et relayés par des gens qui n'ont qu'un but : discréditer la Science et la recherche scientifique !

Quod erat demonstrantum.

Pour tous bien lire en détail :
1. 180 years accurate CO2 air gas analysis by chemical methods (short version)
2. Kreutz, 1941(?); Kohlensäuregehalt der unteren Luftschichten in Abhängigkeit von
Witterungsfaktoren

mercredi, 01 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

Un mot suffit : Amen !

Tiens, puisqu'on parle de scientifiques, je note que les évêques du RC n'ont strictement aucune culture scientifique : Al Gore a un niveau licence en sciences politiques (il avait démarré ses études en lettres), Nicolas Hulot n'a pas son bac (plagiste, moniteur de voile, serveur puis photoreporter et enfin reporter télé), pas plus que l'excellent photographe Yann Arthus Bertrand (assistant réalisateur à 17 ans puis acteur de cinéma et plus tard directeur d'une réserve naturelle animalière).

Des carrières et spécialités éminemment admirables, mais qui ne leur donnent guère de clés pour comprendre la science la plus compliquée et la moins "dure" qu'est la climatologie...

Ils sont un public rêvé pour les charlatans de la clique du GIEC !

En fait, c'est sans doute mieux pour eux qu'ils ne comprennent pas un traitre mot des absurdités qu'ils profèrent : ils peuvent ainsi conserver bonne conscience !

mercredi, 01 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

Et pour bien préciser ma pensée, je tiens Al Gore pour le Bernard Madoff du réchauffement climatique, et la clique du GIEC pour des marchands d'apocalypse.

Et dire que tous deux ont été Nobélisés ! On croit rêver !

vendredi, 03 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

Et, circonstance aggravante, Al Gore siège au conseil d'administration d'Apple. C'est dire ;-)

vendredi, 03 juillet, 2009  
Blogger Jack said...

Ah ben oui, nul n'est parfait...

vendredi, 03 juillet, 2009  
Blogger Jack said...

Bon, j'ai une bonne nouvelle pour les ours polaires...
Je termine à l'instant la lecture d'un article tout ce qu'il y a de plus sérieux sur le soleil.(Science & Avenir Aout 2009)
Figurez vous qu'il semble que nous nous dirigions vers une baisse très sensible des cycles solaires (cycles de 11 ans), voici que le prochain commence timidement, avec excusez du peu, 2 ans de retard.
Il y a eu dans le passé des périodes sans tâche du tout : elles coïncident avec le dernière période froide qualifiée de petit âge glaciaire entre 1645 et 1715.
Une période de glaciation de cette même amplitude, nous permettrait sans doute d'attendre la fin du pétrole, bien au frais.
Formidable non?

mercredi, 29 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

Vous ne connaissiez pas Mark SIDALL, de l'Université de Bristol (Grande Bretagne) ? Ce dernier, las de végéter dans un obscur laboratoire sous-financé, a décidé de sortir de la mouise en faisant une annonce fracassante : le niveau des mers pourrait monter de 7 à 82 cm d'ici à 2100.

Bingo, Mark a fait son "coming out" : il est sorti de l'anonymat et son nom est imprimé dans les journaux (ex. : Le Télégramme de Brest du lundi 27 juillet 2009). Bravo, Mark, ton quart d'heure de gloire est venu. Et à prédire des trucs pour 2100, tu ne risques pas trop que les faits te contredisent - du moins de ton vivant !

Si Mark avait avoué qu'il était totalement incapable de prédire quoi que ce soit sur le sujet, il n'aurait évidemment pas eu les honneurs des médias...

CQFD.

mercredi, 29 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

Jack, tais-toi, malheureux ! Tu insinuerais que le climat est influencé par l'activité solaire ? Ne sais-tu pas qu'on en pend pour moins que ça ! Jack, reprend tes esprits et répète après moi : c'est nous les coupables du changement climatique, et le soleil n'a rien à voir là-dedans.

mercredi, 29 juillet, 2009  
Blogger Luc said...

@ Jack : "Il y a eu dans le passé des périodes sans tache du tout : elles coïncident avec la dernière période froide qualifiée de petit âge glaciaire entre 1645 et 1715."

Ils expliquent, dans ton article très sérieux, comment ils surveillaient l'évolution des taches solaires en 1650 ?

jeudi, 30 juillet, 2009  
Blogger Jack said...

Et bien non, mais je suppose qu'il suffit d'observer le soleil pour voir les taches, à travers un simple verre recouvert de noir de fumée par exemple...

jeudi, 30 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

Même si la présence des taches solaires étaient connues des chinois environ 2000 ans avant notre ère, ce n'est qu'après la mise au point par Galilée de sa lunette astronomique en 1610 que l'observation et la cartographie des taches a pu être entreprise. Le nombre de taches étaient dés lors un sujet d'étude régulier par les astronomes (qui pouvaient ainsi s'occuper le jour, l'observation des planètes et étoiles étant réservée à la nuit). Ces observations étaient aussi reprises par les astrologues qui en tiraient des prévisions (généralement alarmantes, va sans dire).

Donc, pour la période citée par Jack (et même avant), on a des relevés très précis du nombre et de l'évolution des taches solaires. Le déficit de taches dans la période 1645-1715 a été relevé a posteriori par un certain Maunder et porte de ce fait le nom de "minimum de Maunder". Vers 1665, on n'observait plus de taches du tout à la surface du soleil. Et ça caillait sec sur terre...

Ces taches, bien que relativement petites sur la surface du soleil, révèlent le niveau d'activité de la "pile solaire" : peu de taches --> le soleil est calme. Nombreuses taches --> ça s'agite fort là-dedans. Et bien entendu, la terre reçoit alors plus ou moins d'énergie, et son climat s'en trouve modifié...

Mais, chut, faut pas le dire ! C'est nous qui sommes coupables de tout !

jeudi, 30 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

On peut observer ici le graphe du nombre de taches solaires depuis 1610. La corrélation avec les périodes chaudes et périodes froides saute aux yeux : petite glaciation vers 1700, froidure vers 1820... et réchauffement moderne !

Le soleil n'est peut-être plus le Dieu que vénéraient les Egyptiens de l'antiquité (et bien d'autres civilisations), mais c'est quand même le soleil qui décide de tout - et en premier lieu du climat sur terre (n'en déplaise au GIEC, Al Gore et Nicolas Hulot)...

jeudi, 30 juillet, 2009  
Blogger Padraig said...

Bien entendu, il y a aussi les ours martiens qui doivent être sauvés.

Car, évidemment, l'accroissement du rayonnement solaire n'affecte pas seulement la terre, mais aussi toutes les planètes du système solaire. Ca pourrait passer inaperçu, sauf que sur Mars, c'est bien visible par la nette diminution des calottes polaires...

Et là, on peut difficilement attribuer ça aux rejets de CO² par les martiens !

Mais ça, la clique du GIEC ne veut pas en entendre parler !

jeudi, 30 juillet, 2009  
Blogger Jack said...

Pad : d abord que sais-tu des Martiens, tu y es déjà allé toi sur Mars?
Merci de venir à mon aide sur l'historique des tâches solaires. D'ailleurs il me semble que tu l'avais toi même évoqué, comme cause possible des variations climatiques, ici me semble-t-il?

jeudi, 30 juillet, 2009  

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