Chez Luc (brèves de comptoir)

"Chez Luc", le bar où l'on peut venir bavarder ensemble à propos des choses qui fâchent, ou qui réjouissent, ou qui émeuvent ... Je vis près d'Avignon, en Provence. J'ai trois bons copains qui viennent au bar pour nous raconter la dernière du jour : Jack, de Belinto en Provence, Patrick, d'Audierne en Bretagne, et Philippe, de Piriac en Bretagne du sud (qu'on appelle aussi "Pays de Loire").

Les auteurs (le patron et les habitués)

Photo Luc

Luc, Avignon

Photo Padraig

Padraig, Audierne

Photo Jack

Jack, Belinto

Photo Philippe

Philippe, Piriac

mercredi 30 avril 2008

Prendre le train au Japon à l'heure de pointe


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Si vous n'avez jamais pris le train à l'heure de pointe au Japon, vous ne savez pas ce que c'est que les oshiyas.

Regardez le petit clip ci-dessus, ça décoiffe ! (Le tout avec des gants blancs, bien sûr !)

Pour en savoir plus :
1. Oshiya (Wikipedia)

Crédit vidéo : Sockies25 via neatorama

5 Comments:

Blogger sylvain said...

J'en avait entendu parlé, mais le voir, effectivement, ça décoiffe !

Je suis partagé entre une réaction primaire ("Mais ils sont malades ces japonnais ! 0_0") et une certaine admiration pour leur sens du sacrifice collectif.
Après tout, on peut aussi voir ça comme "tout le monde monte, ou personne. On ne laisse pas un voyageur derrière"

(ça me fait penser à une devise militaire, ça)

mercredi, 30 avril, 2008  
Blogger Padraig said...

Je trouve qu'on devrait un peu lâcher les baskets aux chinois avec leurs tibétains et se pencher sérieusement sur cet outrage aux droits de l'homme que fait subir le gouvernement japonais à tous ses banlieusards (gants blancs ou pas gants blancs). C'est indigne. Il faut que cesse le scandale des oshiyas. Par exemple, on pourrait menacer les japonais de les battre aux jeux olympiques s'ils ne cessent pas immédiatement ces pratiques barbares.

jeudi, 01 mai, 2008  
Anonymous Anonyme said...

Le pire c'est que ça existe déjà en France sur la ligne 13 du métro parisien (ce n'est sûrement pas la seule).

Elle est tellement saturée que nous l'appelons "la bétaillère", le nombre d"incidents voyageurs" y est énorme (ça va du simple malaise par entassement aux nombreux suicides, en passant par des agressions très violentes).
Il n'est pas rare de rester coincé entre 2 stations dans le noir ou de devoir prendre les correspondances... s'il y en a...

Pour nous montrer sa reconnaissance, à nous les animaux, la RATP a donc décidé de recruter 45 pousseurs, car c'est bien connu: plus on est de fous, plus on ris.

Elle est pas la belle la vie?

Pour la petite anecdote, il m'est arrivé une fois de monter dans une rame bondée où un type puait tellement qu'un passager s'est mis à vomir. Je ne sais pas si vous êtes comme moi mais l'odeur du vomi est aussi communicative que le rire si vous voyez ce que je veux dire...

Greg2007

vendredi, 02 mai, 2008  
Blogger Jack said...

Bon, je vais vous dire, nous étions à Paris il y a peu pour une semaine, et nous sommes allés faire un tour le samedi voir la famille dans le 77. En fin d’après-midi nous sommes repartis pour Paris et avons prix le train à Verneuil : d’abord ½ heure de retard, sans aucune annonce ni excuses, ensuite un wagon qui sentait la pisse à plein nez. (Je n’ai pas pris le train en Chine ni en Inde, mais d’après ce qu’on m’en a raconté, ça y ressemble)
Mais qu’est-ce que tout ces gens foutent là, pourquoi sont-ils si nombreux à vivre aussi mal, concentrés à cet endroit alors que la France et immense et si belle.
On est vraiment obligé de vivre comme des bêtes ?

Tiens à propos de bêtes, il parait qu’on ne trouve personne pour garder les brebis dans les Pyrénées, vous ne croyez pas qu’ils sont dingues nos contemporains ?

PS : en dehors des heures de pointe le métro reste un truc très commode pour se déplacer dans Paris. Dommage que les voyageurs soient si tristes et enfermés dans leur bulle, les provinciaux sont plus civilisés, eux. (en moyenne)

vendredi, 02 mai, 2008  
Blogger Padraig said...

En fait, il y a un moment dans l'année où il y a des gens qui se parlent sur la ligne 12 : c'est au moment du Concours Agricole, à la porte de Versaille. Les paysans qui "montent" à Paris sont tout joyeux (peut-être aidés en cela par un ou deux petits ballons de rouge), et ils ne savent pas que dans le métro, on n'adresse pas la parole à ses voisins. Alors ils le font !

dimanche, 04 mai, 2008  

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